L’ESCM continue d’innover en donnant aujourd’hui la parole sur le thème « Comment mener à bien un projet d’étude ? « . En effet, notre école de commerce est l’une des premières écoles de commerce française à lancer une chaine de podcasts régulière. En effet, nous avons décidé de donner la parole aux étudiants mais aussi à des professionnels et experts sur de nombreux sujets. En nous suivant, vous apprendrez sur des sujets liés au commerce, marketing, business, startup, ressources humaines !
La parole est aux chefs de groupe de notre Business School
Dans ce podcast, écoutez les conseils mais aussi les problématiques de chaque chef de groupe concernant leur projet d’étude. En effet, avec la COVID et les cours à distance, les contraintes sont nombreuses. Les chefs de groupes vous exposent aussi leurs problématiques et quelles solutions ils ont mis en place pour réussir leur projet d’étude.
Ecoutez ici le podcast n°1 de notre école de commerce sur les projets d’études
PODCAST Comment mener à bien un projet d’étude ?
Voici la retranscription du podcast de nos chefs de groupe à propos de chaque projet d’étude:
Martin : « Bonjour à tous et bienvenue dans la première édition de l’ESCM Podcast, je me présente : Martin HOHLER, je suis élève en Bachelor RMO et chef du projet Podcast, le thème du jour est le suivant : «Comment mener à bien un projet d’étude » et pour débattre sur le sujet j’accueille quatre chefs de projets aussi en licence RMO, Silan Sevik je te laisse te présenter et présenter ton projet »
Projet d’étude : Afterwork
Silan : « Bonjour ! Alors, mon projet c’est un afterwork qui va parler d’intervenants ayant réussi à allier leur passions et en faire leurs métiers, du coup ça va être un afterwork sous forme de petite conférence, ça va être un live le 11 Février à 18h30, le nom du projet c’est « Mon Métier ma Passion » vous pouvez nous retrouver sur les réseaux sociaux : Facebook et Instagram. » ( on mettra les liens)
Projet d’étude Associatif Vide Dressing
Timothy : « Je me présente, Timothy, responsable du projet Vide dressing. Le vide dressing a été fait pour pouvoir en partenariat avec une association, ici, Strasbourg Action Solidarité. ON a récolté des habits autour de nous pour pouvoir les vendre sous forme de vide dressing et reverser tous les gains à cette association »
Projet « l’Escm a un incroyable talent »
Antoine : « Bonjour, moi je me présente, je m’appelle Antoine, je suis le chef de projet du groupe l’Escm a un incroyable talent. Donc, le but de ce projet c’était d’organiser un événement fédérateur qui permettra de rassembler tous les élèves de l’école sous un évènement assez particulier, en mettant en avant les talents de chacun. Bon, les talents c’est un grand mot, on n’est pas allé chercher des superstars en devenir mais c’est plus dans le but de mettre en avant les personnalités de chaque élève de l’école à travers une soirée qui devait se dérouler en présentiel mais qui se déroule finalement à distance via un live sur les réseaux sociaux. »
Projet d’étude humanitaire
Marie Élise : « Bonjour, moi je suis Marie Elise, responsable du groupe projet humanitaire. Avec mon équipe nous nous sommes dirigés sur les violences conjugales et domestiques car le taux de ces violences a fortement augmenté depuis le confinement. Nous allons mettre en place une campagne publicitaire pour toucher un public large via les réseaux sociaux. On va également créer des affiches que nous posterons dans Strasbourg. »
Chef de groupe : Comment gérer l’organisation d’une équipe ?
Martin : « Ok, donc on a pas mal de projets différents : collecte de fonds, une campagne publicitaire, des évènements lives. Comment est-ce que vous avez un peu réussi à gérer l’organisation de votre équipe, sa construction ? » Timothy : « On nous a proposé des équipes déjà faites, donc c’était ensuite à nous d’organiser chaque tâche en fonction des membres de notre équipe. Etant donné que les membres étaient issues de différentes classes de l’école : RH, E-Business et RMO (Responsable Marketing Opérationnel) on a pu gérer en fonction de chaque personnes les tâches imposés. » Martin : « Comme l’a dit Timothy, ce projet-là concerne toutes les filières de l’école donc on a les licences RMO, RH et E-Business qui permettent vraiment d’avoir des gens sur chaque partie du projet, des choses qui sont en rapport avec leur formation. Et du coup, qu’elle a été votre démarche dans la définition du projet et jusqu’où êtes-vous allés, comment est-ce que vous vous êtes dirigé avec les informations données de base ? » Antoine : « Très bonne question, dans le sens où on a chacun eu un projet avec une base mais pas non plus le projet défini de A à Z. Derrière c’était à nous en tant que chef de projet de sonder un peu notre équipe et de se mettre d’accord sur quel forme allait prendre au final cette idée de base. Personnellement, comme je l’ai dit auparavant, le thème imposé était l’ESCM a un incroyable talent. Forcément on pense directement à l’émission de M6, la mise en avant des talents cachés de chacun, donc dès le début il a été question de savoir comment mettre en forme cette idée-là. De base on était partie sur l’idée qui nous pensait la plus logique qui était celle d’organiser une soirée événementielle réservée aux membres de l’ESCM. Malheureusement il était trop dur pour nous dans un projet sur un timing assez court de pouvoir se projeter suites aux conditions sanitaires, notamment sur l’organisation d’une soirée avec l’accueil de personnes, avec de la nourriture, des boissons et tout ce qui s’en suit. Donc on a été un peu forcé par les choses à adapter notre vision du projet pour au final qu’il ait la forme d’un live événementiel sur les réseaux sociaux où chacun des talents aura diverses façon d’être présenté, en direct, via une vidéo enregistrée, etc … On était vraiment obligé de s’adapter aux conditions actuelles. » Silan : « Pour rebondir sur ce qu’a dit Antoine, vu que je travaille sur l’afterwork, dans un premier temps on s’est basé sur ce qui a été fait l’année dernière : le sujet c’était le bien-être au travail et on a décidé de partir un peu sur la même idée, donc les nouvelles manières de travailler et du coup on a décidé de s’orienter dans un premier temps sur les influenceurs et influenceuses puis tout simplement sur les personnes qui travaillent sur leur passion, qui ont peut-être un job à côté ou qui vivent de leur passion, que ça soit une métier artistique ou un simple métier « Classique » mais qui sont heureux de travailler dans ce domaine. On voulait aussi le faire en présentiel avec un public et un buffet, mais on a décidé vu les conditions sanitaires actuelles de faire un live sur Google Meets. »
Comment gérer les imprévus dans un groupe ?
Martin : « Ok, là on a parlé de la définition des projets, de la démarche dans la création du projet. Comment est-ce que vous avez su gérer par la suite les imprévus ? C’est vrai qu’on a commencé début Décembre avec les confinements et maintenant le couvre-feu. Comment est-ce que vous avez gérer ça dans votre groupe ? » Marie Elise : « Dans mon groupe on était un petit peu dans l’incertitude, car nous devions réaliser une campagne publicitaire mais tout reposait sur deux shootings photos et du coup on a pris un petit peu peur avec les circonstances actuelles, si on allait être re-confiné ou pas, mais au final tout s’est bien déroulé comme on le pensait » Antoine : « Moi-même, pour rebondir sur le cas de Marie Elise qui a été au final très peu gêné par cette dimension des imprévus, moi et mon groupe avons eu une expérience totalement différente car de base on était parti sur un concept 100% présentiel avec un buffet, une représentation scénique, un public, etc… Donc c’est quelque chose qui a été abandonné à la moitié de la conduite du projet . On avait de toute manière une porte de sortie sur laquelle on avait commencé à travailler et qui est devenu l’idée principale qui va rester aujourd’hui qui est de s’affranchir du présentiel et d’organiser la totalité en présentiel avec une exception qui est de filmer la performance de certains talents sur lesquels on va quand même organiser des rencontres en comité réduit avec toutes les conditions sanitaires respectées. Donc effectivement on avait sur le côté cette idée du distanciel qu’on continuait à fournir et approfondir et à environ la moitié du projet, vers fin décembre, qu’on allait abandonner l’idée du présentiel qui contenait trop d’imprévus et qu’il était impossible de se projeter 2 mois à l’avance là-dessus et on a dû s’adapter à notre environnement pour quand même fournir un travail de qualité et un événement qui réussira à rassembler toute l’école. » Martin : « Actuellement on est en période de couvre-feu, c’est vrai que c’est incertain par rapport à la suite, on ne sait pas s’il y aura un confinement, on ne sait pas trop, mais c’est vrai que tout ça, ce climat, ça empêche une peu la gestion des groupes. On ne peut pas faire de réunion en présentiel, on peut pas se voir. Comment est-ce que vous, vous arrivé à gérer ça ? A bien communiquer avec votre groupe ? » Timothy : «C’est vrai qu’on n’a pas pu trop se voir énormément en présentiel, mais on a de la chance d’être dans une génération qui fonctionne très bien sur les réseaux et internet. Donc avec mon groupe on a fait un groupe WhatsApp et on communique là-dessus par des vocaux ou des textos. Donc a réussi à se donner chacun des tâches et à réussir à avancer sur le projet. » Silan : « Alors pour ma part on a surtout fait des appels visio pour un petit peu garder le contact et aussi pour remotiver pour l’équipe parce que en faisant tout à distance on peut se dire « Allez aujourd’hui je ne bosse pas, je laisse les autres faire » donc justement c’était dans le but de motiver tout le monde, de suivre l’avancée de chacun et de donner des dates limites où il fallait envoyer le travail et l’avancée de chacun. Le plus important c’était de garder la motivation de l’équipe dans ces conditions. Je pense qu’il y avait de la déprime un peu dans chaque groupe, des moments où on avait des petits coups de relâche, mais au final on essaie d’avancer dans les conditions actuelles. »
L’importance des débrief à chaud
Martin : « J’aimerai un peu me pencher sur le projet de Timothy, le vide dressing, donc il a eu lieu y a deux jours, le 30 Janvier. C’est quoi ta réaction à chaud ? » Timothy : « Le projet a eu lieu le 30 Janvier dernier et ça c’est très bien passé, on a dû s’adapter aux évènements lié au Covid-19 en fonction des masques, du gel mis à disposition aux gens qui venaient. On a été très surpris par le nombre de personnes qui sont venus acheter et grâce à ça on a pu récolter pas mal de fonds pour l’association. Le retour des gens a été qu’ils ont été un peu déçu que le vide-dressing ne se passe que pendant une après-midi et non pas sur plusieurs jours pour pouvoir revenir avec d’autres personnes. » Martin : « Et toi Antoine, ton live approche, comment est-ce que ça se développe du coup ? » Antoine : « Alors effectivement, là on entre dans la phase terminale du projet, c’est à dire que nous avons officiellement ouvert depuis deux semaines les candidatures des inscriptions aux talents. Donc là on était sur un gros travail de prospection non pas pour des clients mais pour des talents, ce qui est un peu différent, puisque la vrai difficulté ce n’était pas d’attirer les gens, mais de les faire prendre conscience eux-mêmes qu’ils avaient un talent. Y a beaucoup de personnes qui s’imaginent que pour pouvoir participer il faut faire des quadruples saltos arrières, mais on ne demande pas forcément ça, et d’ailleurs notre slogan pour notre événement c’est « Le vrai talent c’est d’oser ». Donc on essayait de mettre en avant que chacun a sa propre personnalité, chacun a son propre talent qu’il soit unique, original, impressionnant ou pas, le but c’est de mettre en avant les personnalités de chacun. Donc comme dit on est vraiment dans la phase terminale du projet, là il approche, donc on est plus sur la résolution de tout ce qui est questions techniques. Comment faire en sorte que le live, qui est un événement en direct ce passe bien, qu’il ne faut pas se rater, car s’il y a des imprévus côté technique, ça va pas donner une bonne image et on va risquer que tout le monde s’en aille car on n’a pas assuré. Aujourd’hui on est très proche, on est en plein travail pour faire en sorte que l’événement se passe bien, mais j’ai de très bons espoirs et j’espère qu’on pourra avoir le même succès que le projet de Timothy. » Martin : « Même question pour toi Silan, ça se rapproche aussi, comment ça se développe pour toi ? » Silan : « Ça va bien, pour l’instant on est dans la dernière ligne droite, on communique sur l’évènement et les liens pour s’y inscrire. Là on se détend un peu plus vu qu’on est dans la dernière phase. Pour nous le plus compliqué c’était la phase de recherche des intervenants parce que vu qu’on est passé d’un évènement en présentiel à un évènement en demi présentiel avec juste les intervenants et à un live complètement distanciel on a eu beaucoup d’intervenants qui se sont désistés et vu que là on a nos 5 intervenants on est bien, on communique juste sur le jour de l’évènement, sur la manière de s’inscrire, donc ça va. Et comme Antoine on va essayer de gérer les problèmes techniques du mieux qu’on peut. »
Avis sur la méthode de l’ESCM : privilégier les travaux concrets et en groupe
Martin : « Je vais finir sur une question un peu plus globale, c’est vrai qu’à l’ESCM on travaille beaucoup en projet, en groupe. Quel est votre ressenti sur cette méthode de travail ? » Marie Elise : « Donc pour ma part, je trouve ça très efficace et motivant. Tout d’abord de par le côté humain et je trouve que c’est bien de connaître les idées de chacun, puisqu’on a tous une méthode différente de travail et ça permet d’être beaucoup plus efficace je trouve. » Silan : « Comme Marie Elise j’aime beaucoup le travail en groupe proposé par l’école. Outre l’aspect pédagogique, il y a l’aspect humain, on apprend et on découvre les personnes de notre classe, on tisse des liens. Les faiblesses de l’un peuvent être la force de l’autre, on a apprend à se compléter et chacun fait sa part et je trouve ça assez intéressant, on apprend des autres. » Antoine : « Moi je suis tout à fait d’accord avec ce qu’ont avancé mes deux collègues, mais j’aimerai amener encore une autre dimension à tout cet aspect de travail en groupe que je trouve très intéressant et important. C’est que c’est professionnalisant, en effet, même si les métiers de Freelancer sont de plus en plus à la mode, au final personne n’y échappe, tout le monde doit à un moment dans sa vie travailler en équipe et obtenir des bons résultats dans cette méthode de travail. J’apprécie beaucoup le fait qu’à l’ESCM on nous inculque ça dès le début de notre parcours et ça permet même aux élèves en alternance d’apprendre à l’école comment mieux se comporter au travail et inversement. Au final je trouve ça très épanouissant et très important pour les élèves. »
Où trouver les projets présentés par les chefs de groupe ?
Martin : « Ok ! Pour conclure j’aimerai faire un petit tour de table sur vos réseaux et comment on peut vous contacter et puis voir votre projet. » Silan : « Moi mon projet vous pouvez le retrouver sur Instagram et Facebook, le nom de notre page c’est « Mon Métier, Ma passion ». Sur Instagram vous avez un lien pour vous inscrire sur le live et sur Facebook vous pouvez également nous trouver avec le lien. L’afterwork ça va être le 11 février à 18h30. » Marie Elise : « Pour lutter contre les violences conjugales vous pouvez nous retrouver sur Facebook et Instagram à « Non aux violences 67 » et en biographie on a également une cagnotte en ligne où les fonds seront reversées à l’association « la maison des potes » et ces fonds serviront à réaliser des valises de détresse pour les personnes devant quitter leurs domicile rapidement » Antoine : « Pour ma part vous pouvez nous retrouver principalement sur Instagram, donc n’hésitez pas, on a besoin de votre soutien, que ça soit en tant que talent ou spectateur. La page c’est « Incroyable talent ESCM », vous pouvez y retrouver le lien d’inscription, des explications plus détaillées sur la soirée, etc… » Timothy : « Pour le projet vide-dressing, je vous invite à suivre la page de notre partenaire, l’association « Strasbourg Action Solidarité » sur Facebook et Instagram et n’hésitez surtout pas à être bénévole et leur donner un coup de main, ils en ont souvent besoin. » Martin : « Pour conclure ce premier épisode de l’ESCM Podcast, j’aimerai d’abord tous vous remercier d’avoir participé à cet épisode. Vous pouvez retrouver toutes les informations concernant l’ESCM Strasbourg sur le site internet escm-strasbourg.fr et j’aimerai également remercier nos auditeurs. Et on se retrouver au deuxième épisode ! »
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